l’exploration de la stratigraphie se poursuit: plusieurs niveaux de circulation sont apparus, inter-coupés de phases de fort colluvionement où les rejets anthropiques sont très faibles par comparaison aux couches postérieures (durant cette période «d’activité» du rempart, les villageois jetaient leurs rejets au-delà du mur, dans les dépotoirs extérieurs qui pour la même époque fourniront davantage d’artefacts).
Ces colluvions, épaisse couche terreuse contenant très peu de rejets anthropiques sont peut-être les traces de plusieurs épisodes cycloniques avec coulées de boue.
Une couche de mortier de chaux, mise au jour au pied du rempart, fournit un premier niveau de construction (ou de rénovation).